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1 mars 2010 1 01 /03 /mars /2010 03:32
Here i will count you a story i heard from a kajira mine, a very deep story.


Once there was a kajira who was so lazy she hardly ever did any work. She left her chores for her chain sisters to do and spent all her time sitting by a window watching the people walking around the market in the square outside. Sometimes she would decide to do some simple chore, and as luck would have it that was the moment that her Master would walk into the room. It seemed that the girl had a charmed life, for when her Master came home her two sisters would be taking a short rest from their labours and the lazy kajira would be the only one who seemed to be working. The Master would chastise the two kajirae for letting the lazy girl do all the work. It was not their place to argue so they accepted their reprimand in silence, but they began to hate their lazy sister.
It seemed that the lazy girl got away with anything; she became the Master’s favourite because he was sure she was the only one of his girls who worked hard around his house. But because she was so lazy, she never learnt anything; she never practiced her serves because the Master made the other two do it as he thought they had been doing nothing all day; she never learnt to cook because she was too lazy and let her sisters do it all; she never even knew where things were stored in the house because she never tidied them away. She thought she was clever to get away with doing so little, but she was foolish and her sisters knew that one day she would be caught out. They longer for that day as they believed they were treated unfairly. Sure enough the day came.
One day their Master came home and as usual the lazy kajira was working and her sisters were sitting in the kitchen discussing what they needed to buy from the butcher. The Master called them all together and told them that he had lost some money in a gambling debt and had to sell two of them so he could pay off what he owed. He picked the two hard-working kajirae because he thought them the lazy ones.
The following morning he took the two girls to the slave auction and put them up for sale. They brought a good price and their new Masters were very pleased with them. The Master paid off his debt and came home that evening with a small profit which he was quite happy about. The moment he entered the house he knew something was amiss. There was no smell of cooking coming from the kitchen, and the lounge was still as he had left it that morning, the fire was out and his empty blackwine mug was left on the table.
He went into the kitchen to look for the girl. It was empty and the dishes were still dirty and unwashed. The oven was out and the firewood basket was empty. He began to get worried, thinking something dreadful had happened to his kajira. He searched the house franticly, rushing from room to room. Each room he entered had not been tidied or dusted. All the fires in the house were out and no firewood had been brought in for them. At last he found the girl, lying on a pile of cushions in his bedroom, her back toward him, facing the wide window. He rushed over to her, thinking she was ill. But when he reached her he realised she had fallen asleep while watching the hustle and bustle in the square below.
He shook her awake and asked her if she was ill. But he knew at once what had happened, she had been too lazy to do anything all day long. Now he realised the truth, it was the other kajirae who had done all the work. He had been fooled. He took the girl by the wrist and dragged her to the kitchen, where she curled up on the floor. He took off his belt and for the first time thrashed her soundly. Then he ordered her to clean the kitchen, bring in the wood and light all the fires, and then clean the whole house from top to bottom. He stormed out and went to the nearby tavern to get a good meal.
When he returned late that night, he found the house in hardly any better state. The girl had done almost nothing. He was so angry that he shouted for the kajira to come to him. She hurried in and knelt meekly before him. There was no doubt she was a beautiful girl, but he was in no mood to appreciate her looks. He grabbed her by the hair and dragged her outside into the woodshed and placed a noose about her neck. He bound her hands and tied her to a post. He left her there, in the dirt, the cold and the rain all night long.
The next morning her led her to the auctions and sold her. Instead he bought a new kajira, and this one was hard-working and by the end of the hand, the Master had a clean house and a good meal to come home to every day. As for the lazy kajira, she was bought and sold many times; bought for her beauty, but sold because of her laziness

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Il y'avait une kajira qui était si paresseuse qu'elle n'executait presque jamais aucunes corvées quelconques. Elle quittait ses corvées pour laisser ses sœurs de chaîne les faire, et passait tout son temps assise près d'une fenêtre à regarder les gens qui marchaient autour du marché à l'extérieur. Parfois, elle décidait de faire quelques tâches simple, et comme par hasard, c'était souvent, par chance, au moment où son maître se promenait dans la pièce. Il semblait que la jeune fille avait une chance certaine, car lorsque son maître revenait chez lui, souvent il s'agissait du moment où ses deux sœurs de chaine prenaient un court repos de leurs corvées, et ainsi la kajira paresseux etait la seule qui semblait travailler. Le Maître châtiait alors les deux kajirae pour avoir laisser leur soeur paresseuse faire tout le travail. Il n'y avait pas lieu d'argumenter et elles acceptaient les réprimandes en silence, mais elles commencaient à haïr leur soeur paresseuse.
Il sembla que la kajira paresseuse s'en tira avec rien, elle devenue la préférée de son Maître parce qu'il était sûr qu'elle était la seule de ses filles à travailler dur dans de sa maison. Mais parce qu'elle était si paresseuse, elle n'avait jamais rien apprit, elle n'avait jamais pratiqué ses services car le Maître demandait aux deux autres de les fairent, comme il pensait qu'elles n'avaient rien fait de toute la journée.
Elle n'appris jamais à cuisiner parce qu'elle était trop paresseuse et laissait ses sœurs tout faire; Elle ne savait même pas où les choses etaient stockés dans la maison parce qu'elle ne les mettaient jamais en ordre. Elle pensait qu'elle était habile de s'en tirer en faisant si peu, mais elle était folle et ses sœurs savaient qu'un jour elle serait prise en défaut. Elles esperaient pour que ce jour arrive, car elles s'estimaient traités injustement...
Effectivement le jour venu....
Un jour, leur maître rentra et comme d'habitude la kajira paresseuse travaillait et ses sœurs étaient assisent dans la cuisine, à discuter de ce dont elles avaient besoin d'acheter chez le boucher. Le maître les appela toutes et leur dit qu'il avait perdu de l'argent dans une dette de jeu et devait vendre deux d'entre elles pour qu'il puisse rembourser ce qu'il devait. Il choisi les deux kajirae les plus travailleuses car il les jugeait paresseuses.
Le lendemain matin, il ammena les deux jeunes filles à la vente aux enchères d'esclaves et les mis en vente. elles lui rapportère un bon prix et leurs nouveaux maîtres étaient très heureux avec elles.
Le Maître remboursa sa dette et rentra le soir avec un petit bénéfice dont il était assez heureux. Au moment où il entra dans la maison, il savait que quelque chose n'allait pas. Il n'y avait aucune odeur de cuisine venant de la cuisine et le salon était encore, comme il l'avait laissé le matin, le feu était éteint et sa chope de vin noir, vide, laissé sur la table.
Il entra dans la cuisine pour chercher la kajira. Elle était vide et les plats étaient toujours sale et mal lavés. Le four était éteint et le panier à bois était vide. Il commenca à s'inquieter, en pensant que quelque chose de terrible était arrivé à sa kajira. Il fouilla la maison frénétiquement, courant de chambre en chambre. Chaques chambres où il entra n'avait pas été mise en ordre ou dépoussiérés. Tous les feux dans la maison étaient eteint et pas de bois avaient été amenés pour eux. Enfin, il trouva la kajira, couché sur une pile de coussins dans sa chambre, le dos vers lui, face à la large fenêtre. Il se précipita vers elle, pensant qu'elle était malade. Mais quand il arriva à elle, il se rendit compte qu'elle s'était endormie en regardant l'agitation sur le marché, dessous.
Il la secoua pour la réveiller et lui demanda si elle était malade. Mais il su tout de suite ce qui s'était passé, elle avait été trop paresseuse pour faire quoi que ce soit de toute la journée. Maintenant il réalisait la vérité, c'était les autres kajirae qui faisaient tout le travail. Il avait été dupé. Il prit la jeune fille par le poignet et la traîna dans la cuisine, où elle se roula en boule sur le plancher. Il ôta sa ceinture et pour la première fois il l'a battu puissement. Puis il lui ordonna de nettoyer la cuisine, d'amener du bois et d'allumer tous les feux, puis de nettoyer la maison tout entière, de haut en bas. Il claqua la porte et alla à la taverne la plus proche pour obtenir un bon repas.
Quand il rentra tard le soir, il trouva la maison à peine en meilleur état. La kajira n'avait pratiquement rien fait. Il était tellement en colère qu'il cria à la kajira de venir à lui. Elle se précipita à l'intérieur et se mit à genoux humblement devant lui. Il n'y avait aucun doute, elle était une belle fille, mais il n'était pas d'humeur à apprécier sa beauté. Il l'empoigna par les cheveux et la traîna dehors, dans le hangar à bois et placa un nœud coulant autour de son cou. Il lui lia les mains et l'attacha à un poteau; la laissant là, dans la saleté, le froid et la pluie, toute la nuit.
Le lendemain matin, il l'a conduisit aux ventes aux enchères et la vendit. il acheta une nouvelle kajira; celle-ci était travailleuse jusqu'au bout des doigts, le Maître avait une maison propre et un bon repas quand il rentrait chez lui tous les jours.
Quant à la kajira paresseuse, elle fut acheté et vendu plusieurs fois; acheté pour sa beauté, mais vendu en raison de sa paresse.
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