Le blog de Darkangel

Sur Gor, l'esclavage est un établissement antique et historiquement développé. Il est complexe, avec ses centaines d'aspects et facettes, légal, social et esthétique. L'esclavage a sa base dans les différences biologiques des hommes et des femmes. La dominance masculine est dominante parmi les mammifères et universel parmi les primates. Les Goréens acceptent l'esclavage naturellement pendant leur vie et ils peuvent remettre en cause sa validité de base.

La mythologie de Gor fournit même une histoire justifiant la création de l'esclavage. Il y a bien longtemps, il y avait par le passé une guerre entre les hommes et les femmes de Gor. En fin de compte, les femmes ont été défaites. Mais, les Prêtres-Rois n'ont pas voulu tuer toutes les femmes ainsi ils les ont rendues belles. Ce qui devait attirer les hommes pour les garder sur place. Mais comme prix de leur beauté, les Prêtres-Rois ont également décrété que les femmes seraient pour toujours les esclaves des hommes.

Les romans de Gor dépeignent une image faussée de la quantité d'esclaves sur Gor. Car les esclaves ont souvent des caractères importants dans les romans, les livres à première vue pourraient vous faire croire que la plupart des femmes étaient des esclaves sur Gor. Dans la réalité, environ seulement 2 à 3% de toutes les femmes sur Gor sont des esclaves. Les Femmes Libres dépassent énormément les kajirae en nombre sur Gor. Ces rapports changent cependant de ville en ville. Par exemple, dans Ar il y a 20% des femmes qui sont esclaves environ. Dans Tharna, après la révolution contre la Tatrix, presque toutes les femmes dans cette ville étaient des esclaves.De tous les esclaves sur Gor, 90% d'entre eux sont femmes. Ainsi, les esclaves masculins sont une denrée très rare, seulement de 2 au 3% des hommes sur Gor. Il y a beaucoup de termes utilisés pour les esclaves femelles tels que les sœurs de chaînes, la slut. kajira est l'une des façons les plus communes d’appeler une femelle esclave. SA-Fora, qui signifie la fille de chaînes ou la fille de la chaîne, est une autre expression commune. Pour la plupart, ces termes sont considérés élogieux.

Chaque femme, libre et esclave, apprend dès la puberté la soumission. Sa vie pourrait un jour dépendre d'elle. Si une Femme Libre est capturée, elle doit être disposée pour cette éventualité. Les Femmes Libres apprennent comment préparer les plats exotiques, les arts de la marche et de se tenir, le soin de l'équipement d'un homme, les danses d'amour d'une ville, et beaucoup plus. Une fois qu'une fille est rendue une esclave cependant, sa formation devient beaucoup plus intense. La formation d’esclave couvre beaucoup de domaines divers des arts sexuels, aux produits de beauté et aux parfums, aux moyens d'entrer dans une salle. Tous les esclaves apprennent les manières de plaire aux hommes, physiquement, avec émotion et intellectuellement. La formation appropriée prend généralement plusieurs mois pour s’accomplir, à environ cinq heures chaque jour. Une fille cependant recevra toujours une formation additionnelle par son Maître, selon ses propres intérêts et goûts.

Il peut être facile de voir que la formation d’esclave est profondément psychologique. Il tente d'inculquer dans une femme qu'elle est seulement une esclave dont le devoir est de plaire aux hommes. Cet endoctrinement est le cadre pour toute autre formation. Sans lui, une kajira ne serait pas heureuse ou dévouée. Les esclaves doivent apprendre plus que les actions d'une esclave. Elles doivent apprendre comment être des esclaves dans leurs esprits et dans son coeur. Dans Gor, une fille libère simplement sa véritable nature intérieure. C’est moins une éducation qu’une acceptation simple de la place d'une fille dans sa nature. 

Les Goréens aiment généralement les filles vives qui combattent le collier mais se soumettent par la suite. Ils relèvent le goût du défi de casser de telles femmes. Les Goréens évaluent également les esclaves intelligentes et imaginatives. La plupart des Goréens apprécient parler à leurs esclaves ainsi veulent-ils une partenaire sensible. L’esclave idéale est voulue fortement intelligente, belle, imaginative, forte, et fière. Mais, la valeur la plus estimée, la plus fondamentale chez les femmes est leur besoin d'amour et leur capacité pour l'amour.

N'importe quel Homme Libre peut discipliner une esclave insolente, même une qui est peu contrariante. Si elle est tuée ou blessée, il doit payer seulement la compensation à son Maître et seulement si le Maître peut être situé dans un endroit spécifique et qu’il demande une telle compensation. Le disciplinage d'une esclave peut être fait par n'importe quelle Personne Libre, autrement elle pourrait faire tout ce qu'elle souhaite, et dire seulement que son Maître ne lui a pas appris. Les Maîtres de Gor, bien que souvent stricts, sont rarement cruels. Le sadisme et la cruauté dévergondée sont presque inconnus. N'importe quelle cruauté est faite habituellement pour être utile, comme dans l’enseignement à une femme qu'elle est une esclave. Parfois elles sont punies sans que le Maître explique les raisons. Il est alors fait pour que la kajira devine et pour qu’elle se demande les raisons d’une telle punition. Elle peut même être punie pour aucune raison. Une fille est rarement punie pour essayer d’être agréable.

La mobilité et la liberté d'une esclave est habituellement plus grande qu'une Femme Libre. Elle peut entrer presque n'importe où dans une ville. Si elle est autorisée à sortir en dehors de leur maison, elles peuvent habituellement errer dans la ville librement. Mais, elles ne peuvent pas laisser la Cité sans personne libre les accompagnant. En outre, les esclaves doivent également être à l'intérieur à l'obscurité. Les esclaves accompagnent souvent leur Maître dans beaucoup d'endroits, tel que le théâtre, les courses de tarn, et les joutes de kaissa. Tout en suivant leur Maître en public, une esclave marche généralement derrière son Maître et vers la gauche. Les filles suivent rarement derrière leur Maître du côté droit parce que cela est vu comme signe qu'elle est dans sa défaveur. Si plusieurs filles suivent un Maître, la plus proche est celle qui a la plupart des faveurs.

A man named Lucias once had a ship built so he could trade his mead along the coast. The keel was laid and the ship began to take shape. Each day, on his way home from his shop, Lucias would pass by the boatyard and see how his ship was progressing. Gradually it took shape until one day it appeared to be ready. Lucias went to the boat builder and said:
“Is my ship ready yet?”
The boat builder replied “It is almost finished Lucias, tomorrow we will pint on its eyes and launch her.”
Lucias was bewildered, “Why must it have eyes, surely it sails as well without them?”
The boat builder laughed good-humored, “It has eyes so it may see its way. A ship is not like a table; it is a living thing and must be treated as such.”
Lucias accepted this as some tradition kept by boat builders and sailors, but if it kept them, happy he was not the kind of man to scoff. So the following day he came to the dock and watched the eyes being painted onto the bow of the ship. He was invited to smash a flagon of wine onto the ship, letting the wine run down into the sea. Then salt and oil were poured into the water and Lucias offered a blessing for the ship saying: "Ta-Sardar-Gor" - to the Priest Kings.
And then he declared the name of the ship calling it “Foam Dancer” and watched as it slid gracefully into the water.
A couple of days later, a cargo was loaded and Foam Dancer sailed from the port. It was not a good voyage. Four days out of port a storm blew up and a man fell from the rigging and broke his back. The ship sailed into the next harbor on the following day and the poor sailor was left in the care of a physician. The sailors unloaded the mead only to find that half of the kegs were split and salt water had spoiled them.
The ship made numerous voyages up and down the coast over the next two years, but always it seemed to be plagued by accidents and losses. Foam Dancer had become known as an unlucky ship.
Lucias did not agree, he thought the crew were careless or his suppliers given him poor barrels, and other thoughts of this type. Now he did scorn the sailors for their beliefs and said he would prove them wrong and he would sail on the next voyage with them.
The next voyage proved to be no better that the others. The barrels of water were found to be brackish. A rope got caught around a sailor’s leg and caused him to trip and break his skull. The cook sliced off his little finger, swearing that he had never so much as cut himself in twenty years of sailing. And when they reached the harbor, the customer refused to accept the mead and canceled any further orders. Lucias began to wonder if the sailors were not right after all.
The next morning they left for the journey home. Barely half a day out of port they sailed into a raging storm. As the ship was tossed about, the kegs of mead broke lose and, while they tried to restrain them, a man was crushed between a keg and the bulkhead.
Lucias took to his cabin, and lay in his hammock feeling thoroughly miserable. Suddenly there came a commotion from the deck. He wondered what had happened now, and climbed out of his hammock to go and see. By the time her reached the deck the rocking of the ship had subsided, he opened the hatch to see clear sky, the storm clouds blown away. He could not believe that a storm could subside so fast.
On the deck the men were gathered around in a tight circle. Lucias struggled to force his way through to find out what interested them so. In the center of the circle knelt a young kajira, shivering with fear, her hair tangled and her silks torn. The captain turned to Lucias and told him:
“She is a stowaway, we found her in amongst the ropes. When we pulled her out the storm abated.”
Lucias looked at the girl, though torn and untidy she still appeared beautiful. “A stowaway, and probably a runaway slave too. She will be taken to the city guard when we return to port and be handed over for the decision of the city slaver.”
The crew began to mutter, but the captain held up his hand to stop them. “My friend” he said to Lucias “You know little of the traditions of the sea. On ships there are things called Luck Girls. They are believed…. By the superstitious only, of course… to bring good fortune to the ship. I do not know whether finding this girl and the cessation of the storm are coincidence or if they are linked. But I am prepared to humor my crew and let the girl remain. We will see if the ship’s fortune improves with her on board.”
Lucias looked around the circle; the faces of the crew were turned to him. “I see,” He said “Well so long as the girl remains on board, and does not set foot on land. So long as she wears a collar with the ship’s name. I see no harm in trying out your suggestion. But, if the ships fortune does not improve within three months, she goes to the city.”
Everyone seemed satisfied with this arrangement and a collar was fashioned as Lucias decreed. The girl was washed down and made to look suitable for a kajira. The ship completed its journey home with no further trouble. On landing, Lucias was approached by a breathless man who begged him to sell him some of Lucias’ fine mead. He sold the cargo at twice the price he had planned and the man wanted a regular delivery of mead to begin at once.
Over the next three months, the girl, who the sailors called "jorno", after a fish found far from land which seems to fly along the foam of the waves, remained on board. The ship voyaged up and down the coast, selling mead all over the area. There were no more accidents on the ship; no spoilt food or cargo, and the crew were the happiest upon the seas. Lucias was satisfied and never again spoke of taking the girl away. Foam Dancer had its Luck Girl and good fortune followed it from then on.

Ps: This is not a story mine, it been gived to me by one slave girl i had in past. So is a related story or Gor.


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Un homme du nom de Lucias, avait un navire en construction pour qu'il puisse échanger son hydromel le long de la côte. La quille fut posée et le navire commenca à prendre forme. Chaque jour, en rentrant de son magasin, Lucias passait par le chantier pour voir comment son bateau progressait. Peu à peu, il prit forme, jusqu'au jour où il sembla être prêt. Lucias alla au constructeur de bateaux et dit:
"Mon bateau est-il prêt?
Le constructeur de bateaux a répondu: «Il est presque terminé Lucias, demain, nous peindrons ses yeux et executerons son lancement."
Lucias était égaré, «Pourquoi faut-il peindre des yeux, il naviguerait bien sans?"
Le constructeur de bateaux se mit à rire de bonne humeur, "Il a des yeux pour voir son chemin. Un navire n'est pas comme une table, il est  vivant et doit être traitée comme tel. "
Lucias accepta cela comme certaines traditions conservées par les constructeurs de bateaux et les marins, mais si cela pouvait les faire rire, Lucias n'etait pas le genre d'homme à plaisanter. Ainsi, le lendemain, il vint au quai et regarda les yeux qui avait été peints sur la proue du navire. Il fut invité à briser un flacon de vin sur le navire, laissant le vin couler dans la mer. Ensuite, le sel et l'huile ont été déversés dans l'eau et Lucias offrit une bénédiction pour le navire en disant: «Ta-Sardar-Gor" - aux Kings de prêtre.
Puis, il a déclara le nom du navire, l'appelant "Danceur d'écume", vu comme il glissait gracieusement dans l'eau.
Quelques jours plus tard, une cargaison fut chargée et "Danceur d'écume" parti du port. Ce n'était pas un bon voyage. Quatre jours hors du port, vint une tempête, et un homme tombé du gréement s'etait cassé le dos. Le navire entra dans le port le jour suivant et le pauvre matelot fut laissé aux soins d'un médecin. Les marins déchargèrent l'hydromel pour constater que la moitié des fûts etaient infiltrés avec de l'eau salée qui les avait gâtés.
Le bateau fit de nombreux voyages du haut en bas de la côte au cours des deux années suivante, mais il semblait toujours en proie à des accidents et des pertes. Danceur d'écume fut connu alors sous le nom de "navire malchanceux".
Lucias n'était pas d'accord, il pensait que l'équipage avait été négligent ou que ses fournisseurs lui donnaient de mauvais barils, et d'autres pensées de ce genre. Il se mit à mépriser les marins pour leurs croyances et leur dit qu'il leur prouveraient le contraire et qu'il serait du voyage avec eux pour le prochain appareillage .
Le voyage suivant s' avéra ne pas être meilleur que les autres. Les barils d'eau furent trouvés à saumâtre. Une corde fut prise autour de la jambe d'un matelot le fit glisser et se briser le crâne. Le cuisinier trancha son petit doigt, en jurant qu'il ne s'etait jamais autant coupé en vingt ans de navigation. Et quand ils atteignirent le port, le client refusa d'accepter l'hydromel et annula toutes les commandes supplémentaires. Lucias commenca à se demander si les marins n'avaient pas raison après tout.
Le lendemain matin, ils partirent pour le voyage de retour. A peine une demi-journée en dehors du port, ils naviguèrent dans une tempête. Comme le navire fut ballotté, les barils de l'hydromel se perdirent et, tout en essayant de les retenir, un homme fut écrasé entre un baril et la cloison.
Lucias rentra dans sa cabine, et se coucha dans son hamac avec sentiment bien misérable. Soudain il entendit une commotion à partir du pont. Il se demanda ce qui s'était passé encore.., et descendit de son hamac pour aller voir. Au moment où elle atteignit le pont, la tanguage du navire avait disparu, il ouvra l'écoutille pour y entrevoir un ciel clair, la tempête et les nuages avaient disparues. Il n'arrivait pas à croire qu'une tempête pouvait s'etre atténuer aussi vite.
Sur le pont les hommes étaient réunis autour d'un cercle restreint. Lucias eu du mal à se frayer un chemin à travers eux afin de savoir ce qui les intéressaient autant. Dans le centre du cercle, agenouillé, se trouvait une jeune kajira, tremblant de peur, ses cheveux emmêlés et ses soieries déchirées. Le capitaine se tourna vers Lucias et lui dit:
«Elle est un passager clandestin, nous l'avons trouvée au beau milieu des cordes. Lorsque nous l'avons retiré la tempête s'est calmé.
Lucias regarda la jeune fille, si déchirée et sale fut-elle, elle semblait toujours aussi belle. "Un passager clandestin, et probablement un esclave en fuite!. Elle sera livré à la garde de la ville lorsque nous retournerons au port pour être remise entre les mains de l'escalagiste de la ville. "
L'équipage commenca à murmurer, mais le capitaine leva la main pour les arrêter. "Mon ami" dit-il à Lucias «Vous savez peu des traditions de la mer. Sur les navires il ya ce qu'on appelle les filles de chance. Il est dit .... Par les superstitieux , bien entendu ... qu'elles portent bonheur à bord d'un navire. Je ne sais pas si trouver cette fille et la fin de la  tempête sont une coïncidence ou si il y'a un lien avec. Mais je suis prêt pour l'humeur de mon équipage, de laisser la jeune fille demeurer à bord. Nous allons voir si la fortune du navire s'améliore avec elle à bord. "
Lucias regarda autour du cercle, les visages de l'équipage étaient tournés vers lui. «Je vois», Il dit: «Eh bien tant que la jeune fille reste à bord, et n'a pas mis les pieds sur terre. Tant qu'elle porte un collier avec le nom du navire. Je ne vois pas de mal à essayer votre suggestion. Mais, si la fortune du navire ne s'améliore pas dans les trois mois, elle ira à la ville. "
Tout le monde semblait satisfait de cet arrangement et un collier fut façonnée comme Lucias l'avait décrété. La jeune fille fut lavé pour apparaitre comme il convient d'une kajira. Le navire effectua son voyage de retour sans autres incidents. À l'appontage, Lucias fut approché par un homme essoufflé qui le pria de lui vendre de l'hydromel, priant Lucias. Il lui vendu la marchandise au double du prix qu'il avait prévu et l'homme voulu une livraison régulière de l'hydromel pour commencer.
Au cours des trois prochains mois, les marins appelèrent la jeune fille  "jorno", après qu'un poisson ait été trouvé loin de la terre, un poisson qui semblait voler le long de l'écume des vagues. "jorno" resta à bord. Le navire voyaga le long de la côte, pour la vente d'hydromel dans toute la région. Il n'y avait plus d'accidents sur le bateau, pas de nourriture avariée ou de cargaison, et l'équipage fut le plus heureux sur les mers. Lucias fut satisfait et ne parla plus jamais de livrer la jeune fille. "Danceur d'écume" avait sa fille de chance et la bonne fortune lui sourit à partir de ce moment là.

Ps: Ce n'est pas une de mes histoires, elle m'a été raconté par une esclave que j'avais dans le passé.